Tapons de pont.
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- ronanm
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L'essence de thérébentine dissout tout ce que le withe spirit peut dissoudre. C'est néammoins un produit qui, bien que naturel, est assez dangereux (allergène puissant et vapeurs toxiques). son grand avantage est qu'elle a un fort pouvoir de pénétration dans le bois, ce qui permet d'y faire pénétrer les préparations grasses. En tant que peintre et suite à une intoxication, je l'ai bannie de mon atelier pour d'autres usages.
Pour revenir à ma réponse de ce matin, je ne pense pas qu'une mixture trop hétérogène soit suffisamment hydrophobe pour être utilisée sur un pont, qui présente des risques de stagnation d'eau.
Pour revenir à ma réponse de ce matin, je ne pense pas qu'une mixture trop hétérogène soit suffisamment hydrophobe pour être utilisée sur un pont, qui présente des risques de stagnation d'eau.
- ronanm
- Capitaine de bateau lavoir
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Je dois attaquer la restauration d'un Seabird en acier (version alourdie et élargie). Je dois remettre un pont en bois dessus et vos conseils me seront très utiles le moment venu. Autrement, j'ai la chance de pouvoir naviguer sur un ketch aurique de 11 mètre en mélèze-époxy et sur un doris portugais gréés par mes soins.
- wedell
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cuisine
Puisque je vois qu'on est dans les recettes de cuisine, j'ajoute mon grain de sel: Comme saturateur, j'utilise depuis des années le truc suivant:
50% d'huile de lin
30% de vernis phenolique gras
20% d'essence de thérébenthine
Je gorge le bois en passant trois ou quatre couches (toutes les six heures), en essuyant la dernière après deux, trois heures pour avoir une finition lisse.
La pénétration est bonne, il semble que le vernis empêche l'oxydation et forme une pellicule isolante qui sèche réellement à défaut d'être résistante à l'abrasion.
Pour les ponts, dans mon coin (charente), ils sont calfatés au coton puis mastiqués au mastic de vitrier, parfois au mastic à barrique, vu qu'on est pas loin du bordelais, et ça va à peu près mais les lattes de pont (courbes) sont pratiquement de section carrées, donc peu de retrait et les pont sont généralement peints.
sinon, pour les ponts à lattes plus larges , la recette au brai gras a fait ses preuves
50% d'huile de lin
30% de vernis phenolique gras
20% d'essence de thérébenthine
Je gorge le bois en passant trois ou quatre couches (toutes les six heures), en essuyant la dernière après deux, trois heures pour avoir une finition lisse.
La pénétration est bonne, il semble que le vernis empêche l'oxydation et forme une pellicule isolante qui sèche réellement à défaut d'être résistante à l'abrasion.
Pour les ponts, dans mon coin (charente), ils sont calfatés au coton puis mastiqués au mastic de vitrier, parfois au mastic à barrique, vu qu'on est pas loin du bordelais, et ça va à peu près mais les lattes de pont (courbes) sont pratiquement de section carrées, donc peu de retrait et les pont sont généralement peints.
sinon, pour les ponts à lattes plus larges , la recette au brai gras a fait ses preuves
- ronanm
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Je connaissais la recette qui m'avait été donné par un vieux charpentier. c'est par hasard (pas de vernis sous la main et un mât un peu pourri), que j'ai remplacé le vernis par de la lasure et ajouté du carbonyle. À ma grande surprise, la pénétration a été meilleure tout comme la tenue dans le temps (six mois de navigation intensive sans présenter le moindre signe de vieillissement).choisir des lasures incolores,les pigments semblent être un frein à la pénétration.
Une autre recette de grand'mère pour fred: sur les bateaux en bois massif il est souvent intéressant d'utiliser des peintures antirouilles de base. Les sels métalliques qu'elles contiennent sont un excellent fongicide et leur facilité de mise en oeuvre compense largement leur moindre solidité.
Une autre recette de grand'mère pour fred: sur les bateaux en bois massif il est souvent intéressant d'utiliser des peintures antirouilles de base. Les sels métalliques qu'elles contiennent sont un excellent fongicide et leur facilité de mise en oeuvre compense largement leur moindre solidité.
Je préfere ma peinture bio à l'huile de Lin, pour une bonne raison , elle sent si bon qu'on en mangerait, en plus comme vous devez le savoir ce sont des peintures souples, ce qui colle parfaitement au bois.
J'ai vu une peinture comme ça se fissurer tellement le bois s'ouvrait sur un roof puis se receller une fois le bois revenu en place, incroyable, comme si la fissure n'avait jamais existée.
Pour les vernis j'utilise un vernis bio de chez Biopin (on est un peu du genre chevelu avec des pulls en laine trop grand à la maison).
C'est un produit à base d'"huile de bois" comme ils disent, ça sent les agrumes, l'orange, ils utilisent le jus de l'ecorce comme solvant je crois.
Le produit se compose d'une huile (pour saturer le fond et partir sur une base bien lisse et nourir le bois par la même occase), et d'un vernis (toujours à l'orange) et c'est un super produit et plutot moins cher que le tonkinois par exemple et beaucoup moins cher que le polyurethane, et c'est un vernis souple encore une fois contrairement au dernier.
Pour décaper mes vernis je m'y prend ainsi, pistolet à air chaud, je fais cloquer l'ancien vernis, je le racle au ciseau, ensuite avec du verre je rabote (au lieu de poncer au papier de verre -cher), puis deux ou trois couche d'huile avec ponçage entre chaque à la paille de fer très fine(-cher toujours)puis quand la base est bien dure et compacte, j'attaque les couches de vernis, très diluées au début (diluant biopin) puis dès que la surface est bien, nature.
J'ai vu une peinture comme ça se fissurer tellement le bois s'ouvrait sur un roof puis se receller une fois le bois revenu en place, incroyable, comme si la fissure n'avait jamais existée.
Pour les vernis j'utilise un vernis bio de chez Biopin (on est un peu du genre chevelu avec des pulls en laine trop grand à la maison).
C'est un produit à base d'"huile de bois" comme ils disent, ça sent les agrumes, l'orange, ils utilisent le jus de l'ecorce comme solvant je crois.
Le produit se compose d'une huile (pour saturer le fond et partir sur une base bien lisse et nourir le bois par la même occase), et d'un vernis (toujours à l'orange) et c'est un super produit et plutot moins cher que le tonkinois par exemple et beaucoup moins cher que le polyurethane, et c'est un vernis souple encore une fois contrairement au dernier.
Pour décaper mes vernis je m'y prend ainsi, pistolet à air chaud, je fais cloquer l'ancien vernis, je le racle au ciseau, ensuite avec du verre je rabote (au lieu de poncer au papier de verre -cher), puis deux ou trois couche d'huile avec ponçage entre chaque à la paille de fer très fine(-cher toujours)puis quand la base est bien dure et compacte, j'attaque les couches de vernis, très diluées au début (diluant biopin) puis dès que la surface est bien, nature.
Re: Tapons de pont.
Pour les joints de ponts en lattes il existe la solution, epoxy graphite expliqué dans l'ouvrage des frères goujeon
Chronopost à la bourre, Kronenbourg à la Poste...